Bonjour !
Nouveau rendez-vous le samedi toutes les deux / trois semaines je pense. J’ai pris l’idée chez Chloe’s Books and Co. D’ailleurs, c’est de là que j’ai pris l’image au dessus 🙂
Je commence cet article tout d’abord par un bilan de mes emprunts médiathèque que j’ai fait en mai 2017 et que je pensais devenir un rendez-vous…, j’espère que celui-là restera plus longtemps 😉
Par rapport à la PAL initiale venant de la médiathèque,
J’ai lu
- Les 3 BD.
- La petite fille qui avait avalé un nuage grand comme la tour Eiffel de Romain Puértolas
- Aristote et Dante découvrent les secrets de l’univers de Benjamain Alire Sáenz ( ❤ )
- Central Park de Guillaume Musso
- Les ailes d’Alexanne de Anne Robillard
- Sauveur et fils de Marie-Aude Murail
J’ai temporairement abandonné
- Petit traité de vie intérieur de Frédéric Lenoir
- Humaine de Rebecca Maizel (lu en diagonale, je pense l’avoir déjà lu, moins aimé qu’avant)
- Animale de Victor Dixen. La malédiction de Boucle d’or
- #Bleue de Florence Hinckel
Je n’ai pas commencé
- Ceux qui sauront de Pierre Bordage
- Du bonheur un voyage philosophique de Frédéric Lenoir
Maintenant je peux vous dire mes nouveaux emprunts, de quelques semaines à cette semaine :
J’ai décidé de faire des efforts et de prendre moins de livre à la fois mais d’y aller plus souvent pour éviter d’avoir des rappels pour rendre les livres. En plus, ma pal est bien grande vu que je participe au Cold Winter Challenge 2017 ce qui m’a entraîné à 4 achats.
Je suis d’abord allée à la médiathèque de mon village et j’ai emprunté La mécanique du cœur de Mathias Malzieu, (je n’ai jamais vu le film), et la lettre qui allait changer le destin d’Harold Fry arriva le mardi de Rachel Joyce. J’ai passé le deuxième à ma mère vu et elle a bien aimé, j’ai vu que plusieurs personnes sur la blogosphère qui l’ont aimé aussi 🙂 J’ai pu réserver et aller chercher dans la bibliothèque du village d’à côté L’orpheline des neiges de Marie-Bernadette Dupuy que j’entend bien parlé vu que je suis dans le groupe facebook du cold winter challenge. J’espère que j’aurai le temps de le lire vu qu’il est assez gros !
La mécanique du coeur
Edimbourg, 1874. Jack naît le jour le plus froid du monde et son cœur en reste gelé. Mi-sorcière mi-chaman, la sage-femme qui aide à l’accouchement parvient à sauver le nourrisson en remplaçant le cœur défectueux par une horloge. Cette prothèse fonctionne et Jack vivra, à condition d’éviter toute charge émotionnelle : pas de colère donc, et surtout, surtout, pas d’état amoureux. Mais le regard de braise d’une petite chanteuse de rue mettra le cœur de fortune de notre héros à rude épreuve. Prêt à tout pour la retrouver, Jack se lance tel Don Quichotte dans une quête amoureuse qui le mènera des lochs écossais jusqu’aux arcades de Grenade et lui fera connaître les délices de l’amour comme sa cruauté. Conte désuéto-moderne mâtiné de western-spaghetti, La Mécanique du Cœur vibre d’une rugueuse force poétique où l’humour est toujours présent. Mathias Malzieu soumet aux grands enfants que nous sommes une réflexion très personnelle sur la passion amoureuse et le rejet de la différence, donnant naissance à un petit frère de Pinocchio qui aurait fait un tour chez les Freaks de Todd Browning.
La lettre qui allait changer le destin d’Harold Fry
Il était juste parti poster une lettre.
Mais c’est mille kilomètres qu’il va parcourir à pied.
Un roman inoubliable qui a conquis le monde entier.
« Je suis en chemin. attends-moi. Je vais te sauver, tu verras. Je vais marcher, et tu vivras. »
Harold Fry est bouleversé par la lettre qu’il reçoit de Queenie Hennessy, une ancienne amie qui lui annonce qu’elle va mourir.
Alors que sa femme, Maureen, s’affaire à l’étage, indifférente à ce qui peut bien arriver à son mari, Harold quitte la maison pour poster sa réponse. Mais il passe devant la boîte aux lettres sans s’arrêter, continue jusqu’au bureau de poste, sort de la ville et part durant quatre-vingt-sept jours, parcourant plus de mille kilomètres à pied, du sud de l’Angleterre à la frontière écossaise.
Car tout ce qu’Harold sait, c’est qu’il doit continuer à marcher.
Pour Queenie.
Pour son épouse Maureen.
Pour son fils David.
Pour nous tous.
« Dans une langue précise et aérienne, Rachel Joyce conduit Harold des déserts amers du regret vers les hauteurs lumineuses de la rédemption avec une clairvoyance et une émotion presque insoutenables. » Sunday Times
L’orpheline des neiges
Janvier 1916. Dans le village de Val-Jalbert sur les bords du lac Saint-Jean au cœur de la forêt québécoise, une religieuse découvre un bébé abandonné dans un ballot de fourrures, sur le perron enneigé du couvent-école.
D’où vient ce poupon aux yeux si bleus, qui porte le nom de Marie-Hermine, comme en témoigne une courte lettre cachée dans ses vêtements ?
L’enfant sera élevée et instruite par les sœurs du Bon-Conseil et souvent confiée à une jeune mère des environs, Élisabeth Marois. Dotée d’une voix exceptionnelle, au fil des années, l’orpheline gagnera le surnom de « rossignol des neiges »…
Avez vous lu ces livres ? Vous avez aimé ?